A la lettre ! Lacan & Derrida, histoire d'un malentendu
Désaffiliation et retrait de l’activité : se désengager pour rester engagé ?
La constitution de l'Europe :
la critique habermasienne de la construction européenne analysée au prisme de la théorie de la Reconnaissance
L ' « immigré » : une catégorie d’analyse pertinente ?
Quelle utilité peut revêtir un tel concept pour les sciences sociales ?
Un genre de différence : de la coupure et du Réel, des ordres symboliques et de la différence imaginaire.
Pourquoi la théorie du Genre ne manque pas la différance sexuelle
(sur le statut ontologique des rapports de domination)
utilisateurs en ligne :
Du Politique, de la politique, des politiques...
Je vais évoquer ici deux concepts qui structurent et polarisent la réflexion morale et politique moderne et contemporaine : celui du Respect, et celui de la Solidarité. J'essaierai de montrer en quoi la liaison qu'Emmanuel Kant met au jour, via celui d'Autonomie, entre le premier et celui de liberté, est insuffisante pour penser le lien social, et qu'il faut en appeler au second. Pour se faire, j ...
« L’identité malheureuse », titre Alain Finkielkraut... Si ce court texte porte le titre inverse, c’est d’abord parce qu’il entend amorcer une réponse au dernier ouvrage commis par un intellectuel dont on se demande jusque où il creusera sa propre tombe idéologique. C’est aussi parce que la question qu’il s’agit ici de poser est celle de l’envers du discours de Mr Finkielkraut - ou de ses soubassements métaphysiques, épistémiques et anthropologiques : que recouvre, au juste, son concept d’identité ? 0u, comme dirait le vieux Badiou : de quoi Finkielkraut est-il le nom ? Si l’identité défendue par Alain Finkielkraut est une identité malheureuse, c’est avant tout qu’elle est une identité close, repliée, recroquevillée sur elle-même, vivant dans la peur de l’autre. Mais Alain Finkielkraut semble avoir oublié ce que nous ont appris ceux qui furent pourtant ses maîtres, au premier rang desquels Ricoeur et Levinas : l’identité dépérit lorsqu’elle se referme sur elle-même. Elle ne se déploie qu’en se vivant à plusieurs. Elle se nourrit de la relation d’altérité, s’enrichit de l’autre, et ainsi dépasse les étroites limites qui lui étaient données – et qui, déjà, l’étaient par autrui : l’environnement familial et social immédiat, l'épistémè, la structure du discours dans lequel, toujours l'Homme vient. Aucun sujet ne se développe seul, toute réflexion se mène à deux, est par définition spéculaire. Ce qui ne se dépasse pas en s’enrichissant d’un apport extérieur se rabougrit et, ainsi que l'écrivait Debord, périt, à l'image de la pensée de Finkielkraut.
Principes politiques d'un néosocialisme libertaire, post-libéral, post-communiste, post-anarchiste Le présent article donnera les grandes lignes de ce que devrait être un projet politique conforme à la philosophie développée par les auteurs de ReveGeneral.org. La nature même d'un tel texte implique qu'il demeure à l'état de brouillon, voué à être régulièrement développé, modifié, corrigé. Nous ne détaillerons pas ici outre mesure les motifs philosophiques qui structurent ces principes politiques. Ceux-ci sont explicités sur le wiki et dans les articles présents sur le site. Des liens vers les pages correspondantes seront ultérieurement placés dans le présent document.